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Le Maroc a marqué 2,25 millions de têtes de bétail, dont des moutons et des chèvres pour l’Aïd Al Adha.
« Une surveillance sanitaire régulière est assurée par les services de l’Office national de sécurité sanitaire des aliments ( ONSSA ) », a indiqué le ministère, notant que le secteur de l’élevage s’est amélioré « de manière significative » par rapport à 2022.
Le ministère a attribué ce développement à « l’amélioration des conditions climatiques » et à la mise en œuvre de mesures pour faire face à l’impact des déficits pluviométriques.
« Ce programme concerne la rupture de l’orge subventionnée et des aliments composés subventionnés au profit des éleveurs, ainsi que l’appui à l’abreuvement du bétail à travers l’aménagement et l’équipement de points d’eau », a ajouté le ministère.
Le ministère a également rappelé d’autres mesures, dont la suspension des droits de douane et de la taxe sur la valeur ajoutée qui « ont permis de contenir la hausse des prix de la viande ».
L’Aïd Al Adha devrait avoir lieu fin juin.
Le Maroc prévoit d’importer un million de têtes de bétail et de moutons dans le but de répondre aux besoins en bétail des Marocains avant la fête.
L’importation par le pays de bétail de l’étranger, en particulier du Brésil, a soulevé des inquiétudes quant à la qualité de la viande.
En mars, le Maroc a reçu une cargaison de 2 800 têtes de bétail brésilien.
Des citoyens ainsi que des parlementaires se sont joints à une liste croissante de personnes qui ont exprimé des inquiétudes quant à la qualité du bétail importé.
Le parlementaire Hayat Laraich, membre de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), a adressé une question au gouvernement pour s’enquérir des mesures prises pour faire face à la « contamination » potentielle du bétail marocain en raison des « nouvelles informations génétiques » du bétail brésilien.
Le gouvernement marocain a répondu aux préoccupations, soulignant que le système de surveillance sanitaire du pays n’approuve les importations de bétail qu’après un contrôle rigoureux.
L’inquiétude est venue au milieu de la flambée des prix des denrées alimentaires, y compris ceux de la viande rouge, le gouvernement se tournant vers les importations pour tenter de stabiliser les prix.
Rappelons que la demande pour l’Aïd Al Adha devrait être maintenue au même niveau que celui de l’an passé, avec près de cinq millions et demi de têtes, (5 millions d’ovins et 500.000 caprins). Par ailleurs, même si l’offre en cheptel d’ovins dépasse la demande, le Maroc s’est ouvert singulièrement cette année à l’importation. D’aucuns annoncent le million de têtes. Ce seront des moutons en provenance d’Espagne, de Roumanie, d’Italie et de Pologne semble-t-il.
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