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Le Wali de Bank Al-Maghrib (BAM), Abdellatif Jouahri, a souligné, mardi 20 décembre à Rabat, que l’augmentation du taux directeur à 2,5% agit en faveur de l’épargne, en présence de taux d’intérêt réels négatifs sous l’effet des tensions inflationnistes.
« L’augmentation des taux que nous opérons va devoir pousser la clientèle à réclamer une meilleure rémunération au niveau du système bancaire. Cela ne signifie pas qu’elle va pouvoir obtenir une rémunération positive d’un seul coup, mais le différentiel sur le plan négatif va s’amoindrir », a affirmé Jouahri lors du point de presse à l’issue de la 4ème et dernière réunion trimestrielle de 2022 de BAM.
Il a, dans ce sens, mis en exergue la hausse de la circulation fiduciaire qui a augmenté de 20% en période de crise sanitaire, avant de revenir à son rythme normal.
Le Wali de BAM a, en outre, fait savoir que les banques marocaines n’ont pas connu de retraits massifs au niveau des dépôts pendant la période de crise, expliquant ce constat par la présence de l’élément « confiance ».
Le Conseil de BAM a décidé de relever le taux directeur de 50 points de base (pbs) à 2,50% à l’issue de sa 4ème et dernière réunion trimestrielle, au titre de l’année 2022. Lors de cette réunion, ledit Conseil a analysé l’évolution récente de la conjoncture économique internationale et a relevé qu’elle reste marquée par l’enlisement du conflit en Ukraine, la fragmentation géopolitique et économique et les séquelles de la pandémie.
Il a également noté qu’en dépit des signes d’atténuation de l’inflation dans certains pays, cette dernière demeure globalement très élevée, ce qui amène les banques centrales à poursuivre le resserrement, largement synchronisé, de leurs politiques monétaires.
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