La Banque mondiale s’engage à approfondir son partenariat avec le Maroc
La Banque mondiale s’est engagée à continuer de renforcer son partenariat avec le Maroc, soulignant sa détermination à soutenir les objectifs de développement du pays.
La Banque mondiale a noté cette semaine le partenariat croissant entre les deux parties, un an après les Assemblées annuelles de 2023 à Marrakech.
« Un an après les Assemblées annuelles 2023 du Groupe de la Banque mondiale et du FMI à Marrakech, notre partenariat avec le Maroc s’est approfondi, renforçant les objectifs de développement du pays et consolidant son rôle de pôle régional de connectivité et de croissance », indique le communiqué.
Elle a également souligné le soutien apporté par la banque aux initiatives du Maroc, notamment la pénurie d’eau, notant le besoin urgent de solutions immédiates pour relever des défis similaires.
Le rapport cite certains des projets du pays visant à renforcer l’ économie du pays , notamment le nouveau modèle de développement, avec ses réformes ambitieuses en matière de protection sociale, de soins de santé, d’éducation et d’autonomisation des femmes.
Le rapport indique que ce programme de développement a jeté les bases d’une société inclusive.
« Avec plus de 65 ans de partenariat, le vaste programme de la Banque mondiale au Maroc – axé sur la création d’emplois grâce à l’innovation du secteur privé, l’amélioration du capital humain et la promotion d’un développement inclusif et résilient – soutient les efforts de nos partenaires pour accélérer une croissance durable », indique le communiqué.
Avec un investissement total de plus de 8 milliards de dollars, la banque finance 27 projets au Maroc.
Cette coopération couvre plusieurs initiatives marquantes, notamment le projet historique Noor, la plus grande centrale solaire d’Afrique.
« Le partenariat solide entre le Maroc et le Groupe de la Banque mondiale repose sur la confiance, un dialogue ouvert et des engagements partagés, et continuera de guider nos efforts pour améliorer les conditions de vie de la population marocaine », conclut la Banque mondiale.