SAS renforce la lutte contre le blanchiment des capitaux dans le monde
57 % des institutions ont adopté l’IA et l’apprentissage automatique (Machine Learning) dans leur service de conformité AML.
On estime que 2 à 5 % du PIB mondial, soit l’équivalent de 800 à 2.000 milliards de dollars américains, sont blanchis chaque année et il s’agit d’une estimation prudente. Le blanchiment des capitaux est souvent associé à la vente illicite d’armes, à la contrebande, au détournement de fonds, au délit d’initié, à la corruption et aux stratagèmes de fraude informatique. Il est également répandu dans le crime organisé, comme le trafic d’êtres humains, d’armes ou de drogue.
Selon une récente étude mondiale sur la lutte contre le blanchiment des capitaux (AML) menée par SAS, le leader de l’analytique et de l’Intelligence Artificielle (AI), en partenariat avec ACAMS (Association of Certified Anti-Money Laundering Specialists) et KPMG, 57 % des institutions ont adopté l’IA et l’apprentissage automatique (Machine Learning) dans leur service de conformité AML (anti-money laundering ) ou prévoient de le faire prochainement.
Les institutions financières doivent aujourd’hui agir rapidement pour rester en conformité avec les exigences réglementaires LBC/FT. La conformité pose cependant trois défis majeurs : des faux positifs extrêmement élevés, un volume croissant de transactions transfrontalières et des réglementations AML/CFT et des exigences commerciales en constante évolution. Alors que les régulateurs du monde entier et du Moyen-Orient jugent de plus en plus les efforts de conformité des institutions financières en fonction de l’efficacité des renseignements qu’elles fournissent aux forces de l’ordre, il n’est pas surprenant que 66 % des répondants à l’enquête SAS pensent que les régulateurs veulent que leurs institutions tirent parti de l’IA et de l’apprentissage automatique. Ces technologies aident à réduire les faux positifs, à alléger la charge de travail, à rationaliser les rapports et à réduire les coûts opérationnels.
SAS Anti-Money Laundering adopte une approche basée sur les risques pour aider les institutions financières à découvrir les activités illicites et à se conformer aux règles AML et CTF. Avec l’IA intégrée, l’apprentissage automatique et d’autres techniques d’analyse avancées, telles que l’apprentissage en profondeur, les réseaux de neurones, la génération et le traitement du langage naturel, l’apprentissage et le regroupement non supervisés, l’automatisation des processus robotiques et plus encore, SAS Anti-Money Laundering renforce considérablement les efforts de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. SAS a été nommé leader des solutions de lutte contre le blanchiment des capitaux dans le rapport The Forrester Wave : Anti-Money-Laundering Solutions, Q3 2022, obtenant un score presque parfait de 4,85/5 sur son offre actuelle.
« Alors que les méthodes de blanchiment des capitaux deviennent de plus en plus sophistiquées, les organisations financières s’appuient sur des solutions AML toujours plus avancées pour détecter et combattre les crimes financiers », a déclaré Khalid Benlyazid El Hassani, Responsable Régional SAS. « Cependant, malgré les résultats prometteurs et les milliards dépensés chaque année pour des tâches de conformité réglementaire de base, certains ont mis du temps à changer. Notre solution sophistiquée de lutte contre le blanchiment des capitaux s’appuie sur l’IA, l’apprentissage automatique, l’automatisation intelligente et la visualisation avancée du réseau, pour offrir des capacités de prédiction et de détection sans précédent, les faux positifs les plus faibles et des temps d’enquête réduits » conclut- il dans ce sens.